En ta prunelle où brûle le jour
En ta prunelle où brûle le jour,
De mille lueurs qui te dévorent,
Petit sphinx, corps de velours,
Dont le regard s'irise d'or,
Est ce la faim qui te parcourt
Quand de la vie tu scelles le sort ?
O mon beau chat au corps de feu,
Quand le désir te fait frémir,
Es –tu un diable es-tu un dieu
Face à tes proies ? Qui peut le dire ?
Mais si la mort hante tes yeux
Tu ne sais pas qu'elles peuvent souffrir.
@clorinda 13 août 2005
Je vous présente mes princes aux prunelles d'or: