Lorsque la mer l'enserre et que le Temps s'étend,
Entre ciel et terre, au bord de son étang,
Elle se dresse ,toute fiere au souffle du vent
Le nuage s'étire et la sème d'argent
Les barques caressées par un souffle railleur
Nous disent que Brassens n'est pas dans un ailleurs
Sa guitare est légère au pied du Mont Saint Clair
Il attend dans le vent Margoton la bergère
Les poètes tissèrent de leurs mots ce rivage
Et dans le cimetière que caresse la mer